La France, 5e puissance mondiale économique et première puissance footballistique, vient d’échouer en demi-finale. Cela passe comme une lettre à la poste. Pas de grosses têtes dans les rangs des bleuettes , ni de déferlement de satisfaction pour les performances des joueuses, voire un retour «triomphal» aux Champs Elysées. Car les joueuses et leurs dirigeants savent mesurer ce que le football peut réserver quand on se laisse griser et berner par le triomphalisme.
Aussi, si les joueuses ont pris leurs responsabilites sur les terrains de France, ont-elles été physiquement à point, et ont-elles été instruites tactiquement pour gagner ?
Raphael Féquière
lenouvelliste.com